À Panama, un «village du pardon» et ses 250 confessionnaux
Manuella Affejee – Panama
En attendant la veillée et la messe de clôture, les jeunes jmjistes continuent de profiter des propositions culturelles, artistiques et, surtout, spirituelles, offertes dans le cadre de ces Journées.
De nombreux points de confession ont par exemple été installés dans la capitale panaméenne. Le plus grand parc de la ville, le parc Omar –parque Omar– a ainsi été rebaptisé «village du pardon». Il abrite effectivement quelques 250 confessionnaux, fabriqués par des détenus panaméens.
Des confessionnaux, aux couleurs du drapeau du Panama -bleu, rouge et blanc-, et surmontés d’une croix de plus de deux mètres de hauteur.
L’occasion pour les jeunes pèlerins de s’approcher du sacrement de la Réconciliation, et de faire l’expérience de la miséricorde de Dieu.
Des prêtres de toutes nationalités sont à la disposition des jeunes pour des confessions qui s’enchaînent, parfois huit heures d’affilée.
Quel rapport ces jeunes entretiennent-ils avec la confession et plus généralement, le Pardon? Les réponses de deux pèlerins du diocèse de Paris.
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